Le village s'implante stratégiquement entre rivière et coteau, le long d'un axe majeur reliant Paris à l'Est de la France
Le centre actuel s'est étendu entre l'ancienne grande rue et la place du marché. Depuis 1543, s'u tient la réputée Foire au troc et aux cochons (2ème week-end de Novembre)
François 1er accorde le privilère d'édifier une enceinte en 1545, à la suite des pillages subits lors de la guerre de Cent Ans. Cette muraille compte 6 portes, dont les emplacements correspondent aujourd'hui à des carrefours.
un château médiéval, appartenant au Seigneur de Champigny, se situait derrière l'église Saint-Saturnin
Remarquable demeure de villégiature, d'influence Art nouveau, caractérisée par une parcelle arborée, une complexité des volumes, un belvédère et une richesse des décors.
Les porches rythment l'alignement de maisons aux façades sobres. Autre modèle de fermes, plus modeste, construites sur rue.
Poétesse et dramaturge campinoise du XIXe siècle, Juliette de Wils fit dont de sa demeure à la ville. "Le Préféré" (Petite fille et l'agneau), de Raphaël-Charles Peyre, marbre.
Vue sur le centre et la vallée de la Marne. Emplacement de la porte nord de l'enceinte.
Surprenante demeure, d'inspiration médiévale, construite en 1892 pour Albert Darmont. Remarquez sont profil incrusté dans le mur.
Demeure de villégiature de 1920 marquée par un mélange de styles néo-normand et Louis XIII. Emplacement de la porte B de l'enceinte.
Lotissement aménagé dans les années 30. Ici se situait le Théâtre antique de la nature. Fondé par Albert Darmont en 1905, campinois et comédien aux cotés de Sarah Bernhardt, il démocratise l'accès au théâtre. Le Tout-Paris venait assister aux représentations en plein-air.
Le niveau d'habitation, accessible depuis cette rue, donnait directement sur les parcelles de vignes...
Anciennes maisons de vignerons avec souillardes (entrepôts) coté pente et habitation modeste à l'étage. A vous de retrouver la Maison dite "aux Eclats"
La rue des Ouiches évoque les oies échappées des basses-cours alentour.